Poussière, eau, boue. La terre est toujours enceinte, sur le point de donner la vie. Un voyage autour du monde.
De petites histoires qui créent des images. Spectacle visuel, peinture en direct, musique a cappella.

 

Joan Baixas peint avec de la terre sur un grand écran éclairé par transparence.
Les images apparaissent et disparaissent combinées avec un diaporama et une musique de Paca Rodrigo.

Le spectacle a fait le tour du circuit international depuis 2001 (Centre Pompidou à Paris, Musée Guggenheim à New York, Festival d'Automne de Madrid, Théâtres Nationaux de Toulouse et de Varsovie, Teatre Lliure de Barcelona, Festival de Charleville-Meziérès et bien d'autres lieux).
 

Boue, vase, terre noire, terre enceinte. La boue contient toutes les images et aucune n'est figée. Symbologie élémentaire, avant le mythe et avant les idées. Il traite des différents paysages de l'amour, suprême ingéniosité. Ce n'est pas un spectacle figé, mais un processus d'actions autour de la terre, un pré-spectacle.
Tout a commencé dans le désert australien avec la découverte de la plus grande plaine pauvre de la planète, où la seule couleur est la lumière. Pluie dans le désert, terre enceinte. Il a pris forme à Pouchkine, près de Pétersbourg, avec la boue d'une Russie fatiguée, primitive et fertile, puis dans la bibliothèque de Sarajevo, avec les cendres de millions de livres brûlés, un tremblement de terre d'idées brûlant la poésie.

 

Nous voulons garder TIERRA PREÑADA toujours au début, dans un pré-spectacle, en évitant la représentation d'idées et le spectacle théâtral, pour rester dans une cérémonie précédente, élémentaire, où les matières premières poétiques sont composées avec_cc781905-5cde-3194- bb3b -136bad5cf58d_ intervention du hasard.